mon avis sur le lien : quel ramassis de conneries pseudo-psy, de mauvais raccourcis, de stéréotypes, de mauvaises relations de causes à effets, etc. Digne d’un article CareVox. Comme « d’où le sentiment chez les homosexuels que les femmes sont tellement gourde et d’où également des sentiments misogynes »... quelle connerie ! Il serait trop long d’expliquer des années d’observations, de « contemplations », d’interrogations perso car ma plume est faible hélas (sans connotation et que je me sens plein de fainéantise aussi mais, bon... manque énorme d’affection dans mon enfance ; mis en face de certaines réalités trop tôt ; mère castratrice ; père souvent violent, « diabolisé » et absent de l’éducation ; pas de doudou, pas de peluche,pas de jouet « artificiel » ; je pensais au suicide vers 9/10 ans, etc... On ne choisit pas ses préférences sexuelles, elles s’imposent ; c’est seulement bien plus tard qu’on peut se les expliquer, et encore. Je ne nie donc pas le lien entre traumatisme dans l’enfance et orientation sexuelle mais je me demande souvent si la linéarité de cause à effet est juste... comme si ces trauma étaient vu comme des trauma justement parce que je suis comme ça ? car si tous ceux qui n’ont pas une enfance heureuse deviennent homo je ne serais pas célibataire à l’heure qu’il est Je pense que c’est la pression sociale, la dichotomie radicale hétéro/homo qui pose problème ; elle est récente et n’existait pas dans l’antiquité. Perso, quand j’aime et bien, j’aime, tout simplement. Pour revenir à l’article, l’art est un moyen de sublimation, un acte de résilience aussi.
salut En fait, si tu vas juste faire pipi, ça se discute du point de vue purement hygiéniste. C’est surtout avant qu’il faudrait te laver les mains, pour ne pas te contaminer toi, car l’urine est (en principe, sic) stérile... Bon, c’est vrai que je me lave les mains après et que je ne serrerais pas la main à quelqu’un qui vient de pisser et ne s’est pas lavé les mains. Aprés popo ça ne se discute pas. Quant à la vaisselle, mieux vaut la laisser sécher à l’air libre après l’avoir rincée à l’eau courante (et pas dans un bac d’eau de rinçage ) car c’est moins contaminé qu’un torchon, que l’on tripote et qui a sans doute déjà servi. L’article ne parle pas de l’état de beaucoup de frigidaire... ni du fait qu’en France on se bise à tout va contrairement aux pays anglo-saxons.
autour de moi, au boulot, beaucoup pense qu’il faudrait une « révolution » mais pense qu’elle ne se ferra pas et n’imagine même pas y participer si elle se forme. La révolution c’est bien quand c’est les autres qui la font (on tiens à son boulot payer une misère pour s’acheter son écran plat à crédit) et qu’on en tire les bénéf. C’est comme pour les manifs sur la retraite : tous d’accord mais personne qui défile...
on s’en fout que cette histoire soit vraie ou pas. Prenons la comme une fable. Pourquoi j’accepte la soumission avilissante à mon patron, à une oligarchie,..., pourquoi j’accepte que des connards me cassent les oreilles avec leurs pots d’échappements trafiqués, pourquoi j’accepte que mon mari me frappe, pourquoi j’accepte que etc. Pourquoi attendons nous le plus souvent le catalyseur qui nous donnerait le« signal de départ » ? On peut agir pourtant, chacun à son niveau ; savoir dire parfois « non » ; éduquer et s’éduquer. Mais il est plus simple souvent de « laisser tomber »...
Lettre envoyée à mon syndic. avec ma carte (j’en ai repris une autre )
...à
force de compromis, de soumissions, de dérives vers une bureaucratie
où les têtes syndicales font du carriérisme boutiquier,
la CFTC, la CGT, la CFDT,...se décrédibilisent
aux yeux de beaucoup, dont les miens. Ce n’est pas en se promenant
gentiment dans la rue à quelques personnes que nous pouvons
efficacement lutter. CFTC, CGT, CFDT…, vous êtes devenus des
gardiens de troupeaux, des pare-feu, plus fidèles et soumis aux
oligarques qu’au peuple, un « syndicalisme de salon »
pour employer un euphémisme alors que la stratégie réformiste est
aujourd’hui un total échec.
Ces
« têtes » syndicales n’ont fait que s’approprier la
contestation, monopoliser son expression, pour la faire rentrer
gentiment dans le rang. Quand on voit la force du refus des français
à cette réforme et, au-delà du problème des retraites, la colère
face à la dictature politico-financières, et la mollesse des
syndicats, faut-il y voir un signe de leur corruption ; sont-ils
vendus aux pouvoirs en place pour canaliser cette colère populaire ?
« Le
droit de vivre ne se mendie pas, il se prend. »