La réponse, c’est la fiscalité. Si celle-ci était dirigée à compenser la concession de l’exploitation de la bonne part, celle qui est rentable, de la production de biens et de services au secteur privé, l’État aurait moins de problème pour financer la part non rentable, mais néanmoins indispensable, de cette production. Mais pour que cela soit possible, il faudrait taxer les revenus de l’investissement privé afin de financer les investissements déficitaires publics. Dans le contexte actuel ( fiscalité orientée vers les revenus du travail et compensation de la perte de pouvoir d’achat des travailleurs par la facilité d’accès au crédit ), ce ne serait plus une réforme qu’il faudrait sinon une véritable révolution fiscale.
De la rigueur, d’accord, mais pour les marchés d’abord.
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