Il y a quelque chose de malsain dans cet article.
L’auteur estime qu’il faille se résigner à ne plus appliquer quelque loi fiscale à l’encontre des plus riche, fut elle juste et nécessaire, sous le prétexte de paupériser plus qu’elle l’est la nation.
Les faits sont tenaces et l’histoire s’accélérant, elle démontre par des faits incontestables, que l’évasion fiscale se produit actuellement sans politique fiscale « anti-riches » ultra-contraignante.
De la même façon qu’aucun pays démocratique ne sera autant attractif qu’un paradis fiscal, aucun pays démocratique ne sera autant attractif qu’un pays anti-démocratique en terme de main d’oeuvre à bas coût.
Je crains qu’il faille enterrer définitivement l’espoir d’un geste humain de la part des plus nantis d’entre nous.
Le confiscatoire n’est finalement que la seule solution raisonnable restante.
La richesse se décompose en 2 parties :
1°) Celle qu’on peut transporter
2°) Celle qu’on ne peut pas transporter
Comment passer la douane avec les machines-outils et murs ?
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Ensuite, le savoir faire de nos brillants consanguins de l’aristocratie financiaro-politico-écononomique n’est plus à démontrer effectivement : les multiples crises, scandales fiscaux, spéculations sur les pays, ne les placent pas vraiment comme des stars de l’utilité publique mais davantage comme un troupeau de sauterelles carnivores.
Nous avons surtout besoin de vrais savoirs-faire dans la connaissance de l’industrie et des services et non des savoirs-connaître les ficelles financières pour dégager des plus-values rapides.
Les numéro 2, 3 ,4 ... et tout le monde en fait, sont largement capables de se substituer à un seul homme / femme lâche et cupide et traître à sa patrie.