Pour entendre Bayrou, il fallait un peu d’humilité, d’acceptation de la différence, de confiance et de respect pour l’autre (et sa manière d’appréhender le drame). Un peu de décence : chacun vit de manière intime le bouleversement que produit l’acte épouvantable perpétré, et peu de gens se retrouvent dans une expression identique de l’horreur ou de la colère qui les déchirent.
Que chacun s’abstienne de juger la manière dont son voisin vit ce choc et ce deuil, pour ne pas rejoindre lui-même le bal des ignobles. Sarkozy par exemple a eu des mots qui m’ont choqué : on peut le ressentir, se prononcer éventuellement sur ces mots. Mais dresser une procès en la circonstance est indéfendable.
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