Il restera au Président, s’il a les c....s (mais je crains qu’aucun des deux prétendants ne les aient) à décréter la monétisation directe par la Banque de France des besoins de financement de l’Etat (intérêts de la dette + investissements écologiques et énergétiques) et à effectuer ainsi une relance keynésienne
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