Tout dépend si vous laissez les financiers dicter la ligne économique de notre pays et, plus largement, des pays du Monde.
Utopique ? Je ne crois pas. Difficile ? Certainement. Le tout, c’est de savoir ce que l’on veut : Aristote, Keynes parmi d’autres, exécraient cette « course effrénée aux profits », chrématistique commerciale dénoncée en son temps par Aristote. Ils lui opposaient une vision naturelle de l’économie, tournée vers la sustentation de tous et l’épanouissement de la Cité.
Aujourd’hui, en ces temps de crise économique, un grand nombre de nos concitoyens exècrent cette course aux profits qu’ils payent durement, contrairement aux financiers. Il faut à mon avis sortir de cette logique boursière pour retrouver une économie libérée des risques spéculatifs, intrinsèques à l’actuelle logique financière.
Mais votre idée peut tenir la route dans un premier temps : limiter les spéculations peut être une bonne tentation, mais comme je l’écrivais dans l’article, elle ne donnera pas les fruits escomptés.
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