La troisième avec la psychanalyse : muarf
La troisième grande humiliation sera de prendre conscience qu’il existe des civilisations beaucoup plus évoluées que la notre dans la Galaxie proche, et que celles-ci nous étudient comme des sauvages sans même prendre le temps de venir discuter avec nous.
’l’infiniment grand du cosmos, l’infiniment petit des particules et l’infiniment complexe du vivant [...] Mieux vaudrait user de la notion du transfini, inventée par Cantor pour désigner un infini déterminé ’
Non mais sans rire, comment osez vous écrire des trucs pareils ? Et pour l’infini profondeur de l’Amour ? Vous préférez utiliser Aleph 1 ou Aleph 2 ?
’Il ne sait pas plus pourquoi les particules sont prises dans les mailles mathématiques ’
’ 1870 et 1970, le développement considérable de champs scientifiques souvent séparés mais unis par un même souci, celui de détecter, analyser, représenter les formes et trouver s’il y a lieu quelques règles les régissant. Les sciences de cette époque, assumant l’héritage positiviste, se plaçaient sous le principe du déterminisme. ’
Godel + Gestalt + Théorie de l’information de Shanon et Weaver (je serais curieux de savoir en quoi il s’agit là d’un retour à la Forme à vos yeux) + morphogénétiques + vygotsky ==> ’dès qu’il y a de la forme, on trouve de la technique’ (c’est à dire ??? ) ==> ’la science contemporaine, c’est Aristote sans les causes finales.’,
Vous abusez de la métaphore et de l’analogie. Le fait qu’on trouve le mot ’Forme’ dans les différents champs que vous avez cité (sauf Shanon et Weaver et surement d’autres que je ne connais pas), ne veut pas dire qu’il s’agit du même concept. Il y a autant de rapport entre la Gelstat et Godel qu’entre une vache et une pomme. Ensuite, vous utilisez ces analogies pour tirer des conclusions mirobolantes (euh désolé : saisissante ) qui ne veulent à peu près rien dire.
’le monde matériel est apparu plus comme une sorte d’écume particulaire émergeant d’un champ infini de formes élémentaires.’
Merci de définir ’formes élémentaires’.
’Une interprétation réaliste consiste à concevoir un domaine sub-quantique où se déroulent une infinité de processus virtuels.’
rayonnement de corps noir => ’ je dirai que ce résultat confirme l’importante de la forme dans l’univers.’
dans quel sens du concept de Forme ? Dans celui de la gelstalt ? dans celui de la morphobiologie ? dans celui de la théorie de l’information
? Sans rire, vous rendez vous compte du vide complet de votre argumentation ? Vous n’argumentez rien, ne démontrez rien, vous contentez de placer côte à côte des théories physiques complexes puis de nous balancer vos états d’émerveillement mystique face à ces théories...
’ Il me semble bien que le trou noir quantique décrit la conscience de l’homme face au monde. Lorsque nous voyons un paysage, celui-ci pénètre dans notre dispositif mnésique (qui dépasse le neuronal) comme si nous étions un trou noir et ce, sans limites. ’
Tout ça pour dire qu’une information circule... En plus la métaphore est fausse : si vous mettez 1 Million de personnes face à un même paysage, il n’y a pas de compétition pour accéder à l’information du paysage. Alors que si vous mettez un million de trou noir
« Le champ de conscience perceptive tel qu’on peut le concevoir en correspondance avec les trous noirs quantiques nous place face à une infinitude »
J’allais dire : définition de champs de conscience. Mais vu la suite de la phrase...
C’est quoi la différence au fait entre une infinitude et une infinité ? C’est la bravitude ?
« Il y a donc une substance formelle sous-jacente qui alliée à l’énergie et moyennant quelques conditions parvient à émerger dans le monde de l’action. »
Bogdanov : sort de ce corps !
« Nous voilà donc, humbles créatures si astucieuses et inventives, placées face à l’énigme de trois transcendances avec lesquelles nous entretenons une relation finie. Je crois qu’il est vain de vouloir percer ce mystère. Réfléchir à ces choses est inquiétant et peut rendre fou. »
En effet, la métaphysique ne sert à rien et est nuisible à la santé mentale.
Bon, j’ai du boulot, je lirais votre second texte métaphysique plus tard.
Mais franchement : Vous usez et abusez de l’analogie, des approximations historiques, des phrases floues dépourvues de signification, et de métaphore en guise d’argumentation.