Vos exemples sont intéressants. Si on les observe à travers un prisme un peu différent du vôtre, l’on pourrait en arriver à la conclusion suivante :
je me suis bien servi de la France pour monter ma petite affaire, et maintenant que je suis riche, je ne vais tout de même pas en plus payer des impôts, donc je m’en vais m’enrichir ailleurs.
Car il est bien évident que pour ces hommes là, l’intégralité du mérite leur revient. Ils ne doivent rien ni au pays, ni à leurs employés.
Il ne leur vient bien entendu pas à l’idée que s’ils en sont là aujourd’hui, c’est parce que le pays a mis à leur disposition de bonnes infrastructures, a su formé de bons et utiles employés, mais aussi que leurs employés ont été rémunérés bien en dessous de la valeur qu’ils ont créés.
Bref, les exemples que vous cités ne sont rien d’autres que des mercenaires et des exploiteurs que l’amour de l’argent pousse ailleurs. Et bien qu’ils s’en aillent, ce ne sont de toutes les façons pas eux qui ont la compétence, mais ceux qui ont réellement effectué le travail qui les ont enrichis. En bref, ce sont des profiteurs et des assistés qui n’ont même pas la reconnaissance du ventre. Bon débarras.
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