Un des points importants, non abordé dans l’article, c’est le comment de l’identification de ces « fréquences spécifiques ».
En utilisant des « méthodes de biofeedback », certes, et concrètement ? Ça n’a pas l’air très bien expliqué dans l’article original (Barbault 2009). Ils appliquent un champ EM (en gros avec un GBF et une antenne), balayent les fréquences, et mesurent la variation d’amplitude du signal. Et après ?
En tout cas, le dispositif d’émission (peu intense) et la mise oeuvre semblent très simples !
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