Monsieur Millet a jeté un pavé dans la mare du marigot parisien.
Je n’ai pas lu toutes les réactions et pas lu le livret de Monsieur Millet.
J’ai vu , entendu, la réaction de L. Adler sur Avox, qui m’a fait sourire. Le but de Millet a été atteint.
Il fallait donc constater qu’il n’était pas politiquement correct de fantasmer ou de livrer une construction imaginaire en pâture aux redresseurs de torts qui sur la base des sensibilités sartriennes avaient le catéchisme entre leurs mains.
Les cris des gardes-chiourme ont retenti. Toute la société française est menacée d’un écroulement depuis la publication de Monsieur Millet.
Ne faudrait-il pas comprendre que passant au dessus du profil d’un homme, il y avait un propos de contestation, de mise en garde. Sans doute, une station de métro, le soir , entre chiens et loups, doit sembler lugubre , oui, c’est parfois lugubre. C’est ce sentiment de fin de journée de la station de métro qui peut par défi du quotidien , être évoquée comme un question ultime.
Ce sont les déchirements des êtres dans les gares et les aéroports. Dans la société urbaine, il y a des urbanités mais aussi le mal du désert. La nuit .
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