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Cassiopée R 5 novembre 2012 14:32

La classe capitaliste financière et économique s’enrichit grâce à la mondialisation des échanges. Pour les populations, ce type de commerce va dans le sens d’un nivellement vers le bas du niveau de vie, prix cher, baisses des droits et refus d’entrevoir des progrès sociaux. Les riches marchands de l’ancienne Cité de Venise montre ses dérives.


Le premier but, par le biais de la politique, est le développement des contrats dans les échanges. C’est une marchandisation de la société. L’ouverture des frontières et l’absence de droits de douanes pour protéger le commerce national, ont permis à la classe capitaliste de s’implanter sur de nombreux territoires, et d’installer les multinationales et leurs mécanismes financiers et bancaires.


L’influence des riches marchands sur la vie politique intègre aussi leurs principaux opposants, comme les syndicats ou les associations de nos jours. Dans certains pays pauvres, les ONG font travailler les populations locales pour les grandes entreprises étrangères, pour des salaires de misère. Les collusions entre le patronat et les syndicats, sous forme de corruption ou d’entente, se voient dans l’actualité ou sont dénonçés.


La Cité des Doges de Venise avait fait voter une nouvelle loi qui avantageait les plus riches par rapport aux autres marchands. Les PME/PMI, petite entreprise (TPE) et auto-entrepreneur (euse) subissent les même désavantages par la législation (commune ou spécifique), une fiscalisation,ect...qui avantagent les multinationales ou les grandes entreprises. La participation des marchands moins aisés aux activités de commerce chute.


Outre la banalisation des pratiques policières et répréssives, comme en Chine avec nombres d’industries et d’importations. La classe capitaliste financière et économique devient rentière, avec des exigeances de profits de plus en plus élevés, avec des rendements et une biologie planétaire qui ne sont plus matériellement réalisable sur la durée (renouvelable à terme). La vie en société finit par ne dépendre que du travail, avec des horaires de plus en plus difficile à soutenir et des revenus (malgré les rendements) qui ne permettent plus de faire face à ses besoins de la vie de tous les jours. La marchandisation, qui laisse beaucoup de dettes (économiques et écologiques) derrière elle, devient source de danger pour l’environnement et la cohésion sociale.


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