Il faut distinguer entre « gratuit » et « libre ». En français, on a la chance de pouvoir le faire, ce qui n’est pas le cas en anglais, où c’est « free » dans les deux cas. En effet, Google, c’est la gratuité : en profitant de ses services, nous devenons nous-même la marchandise. Perso, ça ne me gène pas - pour le moment, mais ça peut dégénérer très vite. « Don’t do evil », c’est étonnant, mais après plus de 10 ans ça parait toujours sincère. Combien de temps encore ?
Wikipedia, en revanche, n’est pas gratuit, mais libre. Il n’y a aucun intérêt commercial derrière (en principe). Mais là, on est obligé de faire confiance à l’humanité. L’humain est-il suffisamment bon pour partager ses connaissances par pur altruisme et philanthropie ? Vu le succès des Wikis, on dirait que oui. En tout cas, ça donne la baume au coeur de tous les humanistes, de tous ceux qui croient à l’humain comme d’autres en un Dieu hypothétique.
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