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L’immigré 6 décembre 2012 05:11

Mais, quelle horreur ! Cette si belle langue française maltraité par un malotru, c’est une offense faite à Molière et Victor Hugo et par un prétendu « vrai » Français, par-dessus le marché.
L’expression « syntaxe chaotique » est un bel euphémisme ! Exemple : « cela qui nous départageraS [troisième personne du singulier, donc pas de « S », niveau école primaire, monsieur] mais » [premier paragraphe déjà !]. Je vous épargne le reste...

Veuillez cesser d’insulter vos propres compatriotes les expatriés ! Je vous cite : « au chaud qu’à [c’est une préposition, monsieur] servir leurs [le substantif est au pluriel, monsieur] frères [c’est-à-dire, les Français qui résident hors de France depuis des années] qu’ils abandonnent lâchement » Eh, Oui ! Les expatriés français sont partout dans le monde ! Ils vous ont abandonnés « lâchement » comme vous dites ! Je dirais plutôt qu’ils n’étaient pas assez stupides pour supporter un individu qui n’est jamais sorti de son village de Gaulois, ouais !
En effet, au vu de votre niveau en français qui trahit indubitablement votre niveau intellectuel, les « parasites » comme vous ont vraiment intérêt à « voir leur hôte [la France] affaibli [pas de pluriel, monsieur] ». Je ne l’aurais pas mieux dit moi-même. Merci beaucoup !

Parce que vous êtes une insulte à vos propres compatriotes, veuillez je vous prie vous abaisser à votre niveau : la vulgarité et la grossièreté. La vulgarité et la grossièreté vous siéent tellement que même Marine LE PEN, la Mal-aimée, n’aurait que mépris pour vous ! Soyez vous-même : ne vous cachez pas derrière le paravent de la vertu en tentant de manipuler si maladroitement cette langue si chère à vos yeux. Cette langue qui m’est si étrangère est respectée par ma petite personne.

Chaque fois que vous vous trouverez sur mon chemin, je ne manquerais pas de vous rappeler ce que vous êtes : un parasite vulgaire et grossier.

Votre usine et votre patron doivent être fiers d’avoir un si merveilleux collaborateur tel que vous. Saluez-les de ma part. Compétitivité, quand tu nous tiens !

Soyez chevaleresque une fois dans votre vie : épargnez les dames de votre langage de caniveau !
Faites-nous l’honneur de ne jamais nous inviter en votre si belle demeure. Vous nous offenseriez.

Je ne vous salue point, monsieur.


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