Faudrait rappeler que l’interdiction de faire souffrir un animal est un commandement de Dieu pour pratiquement toutes les religions du monde... Sauf de l’homo consumérus. Mais celui ci ne reconnaît qu’un seul commandement, « ton prochain tu consommera ».
le paradoxe d’une époque qui veut que ce soit plus l’homo écologicus pas très religieux qui défend le mieux le respect des animaux (et accessoirement les autres), alors que ce dernier devrait venir en premier lieu des croyants de par le commandement qu’il leur est fait par leur Dieu respectif.
étonnant non ?
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