De fatale, le 16 février à 12h58, s’adressant à Christian Labrune :
« …vous qui….pourfendez d’une prose rageuse ceux qui se mettent du coté du juste et des faibles… ».
Nous avons bien évidemment compris que « le juste et les faibles » sont chez les palestiniens, tandis que le salaud et la puissance malfaisante sont « chez les israéliens et les juifs » : Voir ici
« …que faites vous (Christian Labrune) dans notre beau pays à donner des bénédictions aux uns et à vouer aux gémonies les autres ?!... ».
Sauf erreur de ma part, Christian Labrune est ici chez lui dans notre « beau pays » : la France…
Par contre, ce n’est peut-être pas le cas de fatale pour qui le « beau pays » serait plutôt la Palestine que la France…
« …Et puisque que vous écrivez, sans honte bue, « A Gaza, les palestinopathes ! »… »
En quoi faudrait-il boire sa honte pour dire, Á TRES JUSTE RAISON, EN TOUTE LOGIQUE ET EN TOUTES RÉFLEXIONS, à Gaza, les palestinopathes ?
Faudrait-il, en France, demander blanc-seing à une représentation de l’invasion arabo/islamique pour pouvoir émettre une opinion sur tel ou tel sujet ?
Notamment sur le conflit israélo/palestinien ?
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