Prasquier n’a jamais digéré cette déclaration de Hessel :
«
Aujourd’hui nous pouvons constater ceci : la souplesse de la politique
d’occupation allemande permettait, à la fin de la guerre encore, une
politique culturelle d’ouverture. Il était permis à Paris de jouer des
pièces de Jean-Paul Sartre ou d’écouter Juliette Gréco. Si je peux oser
une comparaison audacieuse sur un sujet qui me touche, j’affirme ceci :
l’occupation allemande était, si on la compare par exemple avec
l’occupation actuelle de la Palestine par les Israéliens, une occupation
relativement inoffensive, abstraction faite d’éléments d’exception
comme les incarcérations, les internements et les exécutions, ainsi que
le vol d’oeuvres d’art. Tout cela était terrible. Mais il s’agissait
d’une politique d’occupation qui voulait agir positivement et de ce fait
nous rendait à nous résistants le travail si difficile. »
On a quand même trouvé plus dur comme oraison funèbre : celle de la LDJ
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