@Pie 3,14 et les dirigeants US qui n’ont pas reconnu la CPI et sont responsables de centaines de milliers de morts y seraient personna grata ? Vous pouvez expliquer une situation qui semble échapper à toute logique ou doit-on se dire que la CPI est un instrument US comme la guerre en Ukraine est une guerre américaine ?
@Sparker parce que vous croyez que Juncker ne représente que lui-même ? Il est le président de la Commission européenne et membre du PPE, auquel appartenaient les eurodéputés de l’UMP lorsque Sarkozy a fait ratifier le traité de Lisbonne que les Français avaient rejeté deux ans plus tôt. A ce niveau c’est de l’indigence intellectuelle...
Existe-t’il une alternative à l’UPR ? La réponse est NON ; donc Asselineau est le plus à même de porter le projet de Frexit. Pas la peine d’en faire des tonnes sur l’hypercritique. Asselineau est seul, non pas par son rejet par la classe politique ni par le nombre de militants et de sympathisants de l’UPR. Il est seul parce que la classe politique a abandonné l’idée même de la souveraineté nationale, par lâcheté ou carriérisme, et que le bruit de fond médiatique est orienté à dessein contre toute volonté de sortie de l’UE. Et le stratège en communication qui déplore l’absence d’un livre, certes regrettable, aurait pu tenir compte du verbatim intégral de toutes ses conférences et interventions, disponibles gratuitement sur le site de l’UPR
@olivier cabanel Macron est le président des très riches, dixit François Hollande, mais aussi un promoteur déterminé de la construction européenne. On voit de la contradiction dans ses promesses de campagne si l’on fait l’erreur de donner du crédit à ses engagements sociaux, mais aussi sur son volontarisme feint de modifier des principes intangibles des traités européens comme la règle de l’unanimité. Sur ce deuxième point, l’ignorance du premier personnage de l’état serait une faute. Pour ma part j’y vois plutôt une trahison.
@olivier cabanel faux : le programme de Macron a tardé à paraître mais il était disponible en mars 2017. Sortis les points cosmétiques à vocation électoraliste et inapplicables en vertu des traités européens, il aura appliqué jusqu’au bout ceux pour lesquels les puissances d’argent l’ont fait élire : austérité budgétaire, harmonisation sociale européenne (équivalant à un nivellement par le bas), affaiblissement institutionnel et accessoirement de l’état par l’image dégradée qu’il donne de la France, tache dans laquelle il excelle particulièrement. En tout cas biens naïfs ont été ceux qui ont vu en lui un chevalier blanc quand ceux qui l’avaient adoubé dès 2016 s’appellent Attali, Minc ou le MEDEF. De tels parrainages rendaient inutile en effet la publication de son programme dans des délais normaux