Si le problème n’est pas d’avoir été colonisé comme l’auteur Archibald déclare vouloir dire aux Noirs, cependant le problème est bien de demeurer toujours colonisé voire esclavagisé et de l’ignorer ou de feindre de l’ignorer comme Gaston Kelmann. Le pire esclave c’est l’esclave qui ignore qu’il est esclave et vit dans l’illusion qu’il est libre. Rien qu’à constater qu’un Noir porte fièrement un nom comme « Gaston Kelman » en se faisant passer pour écrivain français né à Douala-Cameroun de père et de mère NOIRS des plus naturels, on comprend tout de suite que celui-là est un être sans identité propre, un esclave, un bien meuble appartenant à l’homme blanc dont il arbore le nom avec une si grande fierté.
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