@ Les Non-Alignés : « Si nous nous accordons sur la forme, notre divergence sur le fond est pour nous de taille : en effet, si pour Chouard les maux actuels s’expliquent par un vice institutionnel, ils procèdent selon nous d’un vice « culturel », pour ne pas dire « civilisationnel ».
Le changement de perspective est « copernicien », ce qui ne constitue pas à nos yeux une « minusculerie formelle ». »
Nous vous ferons remarquer que vous déformez encore et toujours la pensée d’Etienne Chouard en affirmant qu’il prétendrait que les maux actuels s’expliquent ultimement par un vice institutionnel, comme s’il ignorait que la cause de la perversité institutionnelle réside primordialement dans le fait que chaque citoyen consent à se faire déposséder de son pouvoir politique. Cette thèse, que vous reprenez en l’accommodant de votre sauce, il ne cesse de la répéter, en termes simples et compréhensibles par tous (excepté par vous ?)
Le changement copernicien est celui qui a été accompli par Etienne Chouard et non par vous, ne vous en déplaise.
Nous choisirons à présent de nous adresser à vous en utilisant, comme vous le faites, la première personne du pluriel ; nous invitons tous vos interlocuteurs à faire de même.
