Le neolibéralisme actuel, qui serait plutôt un ploutocratisme, c’est un mécanisme implacable qui combine séduction et peur.
Séduction de la consommation à tout prix, du bonheur libre et sans entrave d’un choix que l’on croit infini, et qui n’est que la répétition du même.
Peur de se retrouver déclassé socialement, de ne plus en être, voire carrément de se retrouver à la rue.
Alors chacun accepte la suite monotone des destructions, des régressions, des oppressions.
Jusqu’au jour où tomberont à la fois les illusions consuméristes et la peur d’être exclu.
Un espoir : les totalitarismes finissent toujours par s’effondrer, mais leur durée reste incertaine.
Nous pouvons toutefois sentir comme un basculement proche qui s’annonce.
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