En réponse à :
@ BA,
Les informations que vous apportez sont très importantes. Merci.
Elles me confortent dans la motivation que j’ai eue pour la rédaction de cet article.
Les Français, selon l’IFOP, seraient à 64% opposés à l’intervention en Syrie ?
Bien, mais à combien se chiffre la correction qui a été opérée ? Moins 5% ? moins 10% ?
Instituts de sondages et médias sont aux ordres. C’est ainsi, et je n’apprends sans doute rien à personne.
L’alternative pour François Hollande est simple :
De deux choses l’une : ou bien il décide d’intervenir en Syrie, et il ne pourra pas se passer du vote du Parlement.
Compte tenu des prochaines élections municipales, et du nombre de cumulards qui voudront retrouver leur siège, ce sont bien les électeurs qui ont la décision finale entre leurs mains.
Ou bien, l’intervention est différée, ce qui est déjà le cas, parce que le Congrès américain aura voté contre, ou bien parce que le pays le fera savoir, et c’est l’humiliation de la France.
Dans les deux cas, la descente aux enfers pour celui que j’appelle depuis quelques semaines déjà, François Dernier, se poursuivra.
Je crois qu’on ne mesure pas encore les dégâts en politique intérieure que cette affaire va engendrer, d’où le titre de l’article.
Cordialement.
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