Dans une société rongée par la valeur monétaire, l’être humain n’en a plus.
Et dans le capitalisme, notamment en Europe, rien ne doit échapper au marché.
Le chaînes de distribution vont donc afficher leur aide humanitaire devant leurs vitrines (le marché) tandis que dans l’arrière court, ils chassent les pauvres à l’aide de poursuites judiciaires et de produits toxiques, car ces pauvres-là échappent au dernier marché, le marché de la détresse.
A la fin du siècle dernier, j’avais lu un livre d’Emil George, sur le marché de la détresse, mais surtout l’élimination programmée des miséreux non monétisables « The New Original Crim Paradigm ».
Ce concept était basé sur une relecture délirante de la bible, et était porté principalement par des banquiers.
Je crois qu’ils sont en train tout simplement de réaliser leurs délires, sans que la population, victime de ce génocide en cours, ne réagisse.
Plus le temps passe, plus je finis par penser que le régime du bloc euroatlantique est un régime « Métanazi », qui voue volontairement les populations à la destruction.
La crise n’est alors qu’un levier pour imposer leurs mesures destructrices.
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