AFFAIRE PUBLIQUE / AFFAIRE PRIVÉE
La sécurité personnelle du président procédant de notre
sécurité institutionnelle, ses « escapades » sentimentales procèdent
donc, au premier chef, d’affaires publiques, confidentielles certes, mais d’affaires
publiques quand même liées à l’intégrité de notre gouvernance…
Mais les « escapades » sentimentales du président procèdent, au
deuxième chef, d’une affaire publique liée aux règles d’état civil spéciales applicables
au président.
En effet, les titulaires précédents de la fonction étaient tous mariés, signifiant
ainsi que l’épouse du président devient ipso facto la « présidente d’état civil », dotée de
l’environnement protocolaire et institutionnel qui s’y attache.
Il en découle que les comportements « privés » du président n’ont,
dans ce cadre, aucune incidence sur les institutions.
Mais nous sommes aujourd’hui dans une situation où le président, tout en étant
célibataire, a installé la concubine de son choix dans une situation de « pseudo présidente d’état civil », laquelle
est dotée, en conséquence, de l’environnement
protocolaire et institutionnel normalement alloué à l’épouse en titre du
président...
Ceci étant posé, le dernier comportement « privé » du président fait
apparaître, au vu et au su de tous, une deuxième concubine !?
Y aura-t-il donc une deuxième « pseudo
présidente d’état civil » dotée d’un deuxième environnement protocolaire
et institutionnel ?
Ce faisant, serions-nous alors dans une situation virtuelle de polygamie
présidentielle ?
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