Le problème de fond est surtout l’inadaptation totale de notre agriculture à la qualité.
À force d’agrandir les exploitations, il ne reste que quelques agriculteurs, qu’il convient d’ailleurs mieux d’appeler exploitants agricoles. Ils ont voulu jouer le jeu du marché et de la mondialisation. Ils perdent, tant pis pour eux. Point.
À l’inverse, il faudrait fortement développer l’agro-écologie, réduire la taille des exploitations, augmenter le nombre de fermes (cela ferait de très nombreux emplois crées en plus !), pratiquer une agriculture réellement respectueuse de l’environnement (permaculture, bio, agro-éco) car, bien entendu, les dégats sur notre environnement des pratiques détestables des agriculteurs FNSEA sont payés par nous, tant en termes monétaire que de santé.
Il a déjà été prouvé à maintes reprises que ces modèles sont plus productifs que l’agriculture intensive. Il ne manque que la volonté politique.
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