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Le Gaïagénaire 26 octobre 2014 22:35

@ Didier et réseau,


http://www.personocratia.com/fr/index.php

L’ADOLESCENCE DE PERSONOCRATIA

L’activité de Personocratia s’intensifie en qualité et en quantité. À partir de 2004, Ghislaine entreprend une série d’ateliers intensifs de dix jours. Le message s’intègre et se consolide. Un an plus tard, une énorme prise de conscience d’une logique implacable fait son apparition : « être créatrice, c’est se créer soi-même ». Son corollaire est épouvantable : par conséquent, il n’y a ni parents ni enfants. La famille est un leurre aussi gros que celui du Père Noël ! Pas étonnant que ça ne marche pas… Pire encore, cette réalité sonne le glas de la sexualité. Oh la la ! Une fois de plus, la vérité est évidente et Ghislaine n’en doute pas. Mais comment annoncer pareille hérésie ? Ça devient de l’héroïsme… Cette fois encore, elle bravera le courroux de l’opinion publique et proclamera la fin d’une institution périmée, souffrante et absurde, la famille.

 

Des personnes s’enflamment pour Personocratia. Quelques-unes d’entre elles décident de se consacrer prioritairement à leur évolution de conscience. Pour faire suite à la demande pressante d’obtenir le contenu des ateliers de dix jours par écrit, Personocratia décide de publier les Livrets de Personocratia, une série qui élabore en détails les dix sujets de base traités. Mado, une nouvelle Personocratia, accepte de les rédiger. Le premier paraît en 2007. Un an plus tard, une autre Personocratia, Diane, prend l’initiative d’organiser les conférences mensuelles avec Ghis, en Estrie, au Québec. Personocratia Reçoit. Les présentations sont filmées, éditées puis rendues disponibles au public sur un site Internet français, www.dianequiose.com, et son équivalent anglophone, www.dianedares.com. La formule plaît et elle sera reprise en France, par Maryline, à Paris, l’année suivante.

 

En 2008, Ghislaine fait face à des poursuites judiciaires pour omission de produire des déclarations d’impôt sur le revenu. Plutôt que renier son identité véritable, elle choisit de séjourner deux mois à la prison pour femmes Tanguay de Montréal. À sa sortie, elle écrit un livre qui relate son expérience carcérale et sa démarche de conscience. Il s’intitule Madame Ghis – Évasion en prison. Peu de temps après, elle se présente au Palais de justice et réaffirme son statut de personne souveraine avec un corps, une âme et un esprit. Elle réitère que la Cour n’a pas juridiction sur elle. Puis elle annonce au juge la mort de la citoyenne Ghislaine Lanctôt. Le mouton peureux est mort, la laine est partie. Dès lors, elle se nomme Ghis. Elle a découvert la vraie liberté : elle est en d’dans ! (voir le site : www.jemesouviensdequijesuis.com. Un seul hic, elle n’a désormais plus de passeport… le dernier privilège citoyen auquel elle a renoncé.


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