Effectivement, je fais partie de ceux qui ont lu « Les Illusions perdues »
et Roberto Gac a tout à fait raison : l’état du monde éditorial et
journalistique de 2014 est identique à celui du 19e siècle.
Balzac
serait complètement ahuri de voir combien est grand l’immobilisme dans
ce secteur et il pourrait s’écrier avec le Diable de Boulgakov : rien
n’a changé en ce monde !
La corruption est la même et le copinage joue à plein. Les critiques littéraires qui sont employés des maisons d’édition et font des courbettes pour se faire publier. Les émissions littéraires qui sont devenues des vitrines pour ces mêmes maisons d’édition, et ces centaines de romans qui nous ennuient et qui sont oubliés dès le lendemain... (Qu’ils soient prix Goncourt ou autre !) On s’en fiche des états d’âme de X ou de Y, ou de leurs confessions concernant leur position favorite dans leurs ébats intimes....
Au secours, Balzac !!
PS : lsga = je suis fan d’Amazon qui me permet de trouver tout type de livre et me l’envoie très très rapidement sans frais d’envois...
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