bonjour Michel,
la cote d’impopularité de Hollande n’est pas que la cote d’impopularité de Hollande, c’est celle du Président de la République, le fondé de pouvoir du CAC 40. Il pourrait porter un autre nom, peu importe.
La guerre est sans doute une manifestation du désespoir, mais à l’échelle des financiers.
Reste la question des moyens.
La classe dirigeante a ficelé notre pays dans un nœud d’alliances et de rapacités bien fragile, une armée de brigands internationaux qui s’entr’égorgent et piétinent les plus faibles d’entre eux.
Et face à elle des milliards d’êtres aspirant à la paix et à la prospérité, auparavant asservis, ont acquis le pouvoir de parler d’égal à égal.
Bouygues, BNP, Total and Co peuvent sans doute faire les gros bras en Afrique, ça ne durera pas longtemps. Le monde bascule, peut-être cette année ?
Il y aurait alors pire solution que la guerre, l’impossibilité de la guerre ... ou la révolution.