Le problème n’est pas qu’ils soient connus, puisque les éléments qui ont fondé la requête en révision eux ne l’étaient pas et révélaient qu’il y avait une possibilité certaine pour que Quemeneur ait bel et bien rencontré Gherdi à Paris, ce qui innocente de fait Seznec.
Si c’est cela, la cour s’enfonce un peu plus dans la mesure où la promesse de vente n’était pas suffisante, comment peut-il sortir un faux qui ne sert à rien ? Et ce faisant, elle invente pour ne pas réviser.
Tout cela n’est évidemment pas sérieux. J’attends la décision dans l’affaire Deperrois qui ne sera vraisemblablement pas à piquer des vers non plus, bien que la requête ne soit pas faite pour réussir.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération