En réponse à :
il faut aller la où ça parle, parce qu’un éléphant ça trump énormément,
au point qu’on se demande si dieu n’est pas le négatif de lewinski bossant pour hillary...
l’affaire :
lors du dernier concours de lancer de nains républicains,
une journaliste interroge trump sur sa misogynie,
son discours... « des salopes », « des chiennes », etc.
le lendemain sur CNN, trump déclare :
« on pouvait voir du sang sortir de ses yeux, du sang sortir de son... où que ce soit. »
voilà.
il essaie par la suite d’expliquer que le « où que ce soit » c’est le nez de la fille,
mais ça passe pas, réunions annulées, directeur de campagne en démission, etc.
trump qui a déjà financé du clinton par le passé,
est chargé de foutre la foire républicaine face à la femme ?
un homme qui la joue je suis sans règles et regardez, c’est affreux,
je deale avec des gens qui ont... des règles !!
c’est du pathos lourd.
mais qu’on ne s’y trump pas...
qui parle ? qui est cette femme en sang ?
l’Amérique ?
l’Amérique parlant au monde qu’elle ensanglante ?
ou le monde se penchant sur l’Amérique nous noyant dans son sang ?
qui rejette le sang rejette la vie.
il sait le sang sur lequel sa fortune est bâtie, même et surtout le blé le plus innocent.
mais le plus inquiétant pour un candidat à la maison blanche, c’est le « on pouvait »...
« we could see » or « you could see »...
je pense pour vous, je vois pour vous, si si... we could see !
moi ? c’est pas la question !
merci excellence,
vos dernières photos de plage sont parfaites.
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