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En réponse à :


ddacoudre ddacoudre 12 septembre 2015 13:18

bonjour Lucas

intéressante réflexion. en me nourrissant je ne te ferais pas grossir, nous sommes donc tenu par notre condition humaine qui impose de disposer chacun des moyens de survivre au détriment des autres s’il le faut. depuis des siècles nous avons acquis la « maitrise » de cela ou du moins sa compréhension, devant se répartir les taches pour pouvoir extraire de territoire hostile de quoi vivre.
nous y arrivons par l’organisation du travail qui a remplacé l’économie de pillage même si nous avons renvoyé ce pillage au niveau des états. ainsi depuis des siècles c’est la relation dominant/dominé qui s’exercer au travers du capitalisme qui en est qu’un paradigme ou se justifie au travers du libéralisme qui fut et est une grande avancé humaniste, le droit d’exploiter l’autre.
l’agent coordonnateur de cela est le plan comptable( http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-capitalometre-8441227.html) qui traduit des siècles d’appropriation du travail des autres que ce soit par la servitude, l’esclavage ou aujourd’hui le salariat.nous pouvons donc espérer mieux et j’ai en 1999 formulé cela comme ceci.

Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.

Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.

De fait une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers. L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des guides, mais le reconnaître ne le rend pas irréductible ; et si le code civil a analysé en 1804 la « marchandisation » de la force de travail comme du « louage de service », donc du marchandisage. Je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des événements culturels (développement des sciences) qui nous permettent de concevoir notre activité de travail complexes entre adultes culturalisés, comme une relation humaine, et non un conflit d’intérêt.

 

Cela naturellement nécessite une approche plus éducative de ce que j’ai appelé le « collectivisme fractal », ou entreprendre avec les autres..

enfin aujourd’hui nous n’avons pas besoin du travail de tous 28 millions d’actifs pour 68 millions de citoyens. la technologie nous permet cela. mais tous les citoyens ont besoin d’un revenu, dans ce sens j’ai écris que l’avenir de l’humanité dépendant des Savoirs que nous élaborons nous pouvons concevoir qu’apprendre soit un moyen de rémunérer les hommes pour que personne ne soit dépourvu d’une autonomie économique (http://ddacoudre.over-blog.com/55c7d999-e91f.html)
http://ddacoudre.over-blog.com/article-l-entreprise-n-a-pas-vocation-a-creer-des-emplois-121976083.html.
cordialement...


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