... moi, ce qui me navre, c’est que personne ne songe à analyser plus avant sa propre responsabilité !
Quand on attrape froid, on ne se met pas dans les courant d’air !!!
alors évidement, la paranoïa ce n’est pas un refroidissement, mais il existe une responsabilité sociale énorme.
Pour un malade allez vous dire, certes (plus ses enfants et sa femme), mais cet acte traduit clairement un dérèglement de la société.
— Si ce dérèglement est voulu et que l’objectif est bien de dénaturer ou de laisser dénaturer un pays et sa culture, alors, pas de problème, cette tuerie n’est qu’un effet collatéral, et les autorités comme les associations et les média doivent assumer leur responsabilité.
— Si ce dérèglement est seulement un accident de parcours alors il faut prendre des mesures pour que cela ne se reproduise évidement pas... mais ce qu’on ne dit pas c’est que d’autres , pas nécessairement paranoïaques, souffrent et cette souffrance devrait être allégée pour le moins si ce n’est soignée.
On a pas le droit de laisser faire et il faut prendre des mesures de protection car on ne sait pas mesurer directement la quantité de souffrance.. a moins que les montées xénophobes partout en Europe soient également un thermomètre acceptable pour mesurer !
Les peuples ne sont pas que des chiffres, ce sont aussi des gens avec leurs qualités, leur défauts, leur souffrance et il me semble anormal de ne pas s’en préoccuper.
Et si il existe une forme de soin, un soulagement possible, il ne faut pas l’ignorer.
Je sais que ça ne fait pas plaisir a certains, que d’autres élèveront a travers une pensée unique une barrière « de valeurs » pour laisser sans solution un problème qui les dérange... mais il faut, pour le bien de tous trouver et appliquer une solution acceptable.
Quand on a froid on ferme la fenêtre, même si d’autres vont avoir trop chaud !!!
c’est ce qu’il se passe... une limitation dans les paroles comme dans les actes de l’intrusion d’une culture difficilement assimilable me semble indispensable... tant pis si certains on trop chaud... on soulage d’abord.
Désolé pour tous les commentaires que j’ai lu, je ne peux être d’accord.