En réponse à :
l’heure exige une réflexion en termes épidémiologiques,
je propose la coranite, dont les formes avancées sont les plus dangereuses ;
la coranite s’attrape par le coran, qui n’a rien de mauvais,
buvez quinze litres d’eau vous êtes mort...
un turban doit être interrogé, de près,
la coranite se repère au moindre signe ou dire de violence, directement relié au texte,
même et surtout par citation,
sa définition exacte relèverait d’une patho-topologie
où l’individu voudrait à la fois se tenir dans et hors de la basmallah
vu ici la double exigence de miséricorde d’où toute violence est donc encore
plus exclue, d’emblée, d’office, que dans le christianisme
à cet égard génial mais brouillon.
les coranitiques seraient d’abord rassemblés dans des centres,
de vastes réseaux thérapeutico-prostitutionnels viendraient en aide à ces loubards perdus.
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