Passons avec indulgence sur la méprise Robespierre - Saint-Just qui gâche un peu quand même la crédibilité de l’auteur.
Et portons notre attention sur cette phrase glissée en douce : « la terreur fut sans doute un passage nécessaire sinon obligé »
Monsieur Elliott le philologue, avez-vous jamais lu le récit des crimes de Jean-Baptiste Carrier à Nantes, de Turreau et ses « colonnes infernales » en Vendée ?
Lisez cette lettre de François Joseph Westermann, général de brigade républicain dit « le boucher de la Vendée » :
« Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Plus de Vendée, citoyens républicains, je viens de l’enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay, suivants les ordres que vous m’avez donnés [...]. J’ai écrasé les enfants sous les sabots des chevaux, massacré les femmes qui au moins pour celles-là n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher, j’ai tout exterminé."
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