bonjour doctorix
la sécurité routière c’est trop souvent de l’obsession sécuritaire. si la police relevé les infractions de distance entre véhicules, plus personne n’aurait de permis. de plus en plus fleurissent les stops là où un laissé passé suffit largement. j’illustre souvent cela par l’accident de bus qui a fait 43 victimes dans une collision avec un camion sur une départementale. dans le cadre de l’émission ligne ouverte le journaliste posait la question faut-il interdire la circulation des bus sur les voies départementales, et tous les auditeurs, de s’engouffrer des trémolos dans la voix.
dans le cadre de notre éducation punitive ou la sanction et la répression sont devenus la solution miracle, il ne pouvait pas venir à l’idée du journaliste de demander s’il ne fallait pas agrandir le réseau routier secondaire pour le sécuriser. c’est le réflexe problème /bâton dans lequel nous baignons. Alors que les routes sont plus sures, matérialisées, des voitures plus fiables et sécurisé la sécurité routière voulait réduire la vitesse à 80 km/h. savoir conduire c’est avoir la maitrise de son véhicule qui doit trouver dans le cerveau sa place à ses mesures. notre cerveau connais l’espace qui nous est nécessaire quand nous entrons dans un véhicule il doit prendre la mesure d’un nouvel espace. la seule période critique c’est celle de cet apprentissage généralement , la préparation au permis ni suffit pas, il faut avoir des heures de vols, de conduite en l’espèce, pour cela.ce en quoi la conduite accompagnée est un bon moyen ou autre.
également la sécurité routière en définissant les choix de circulation avec des bandes blanches qui deviennent de plus en plus nombreuse causant de fait des infractions par des conducteurs qui les franchissent , elle devient tyrannique se substituant de fait à l’appréciation du conducteur qui lui est en direct avec la circulation réelle. quand l’on sait conduire aujourd’hui l’on peut passer sans accident à 300km/h entre deux platanes alors que celui qui a peur au volant à 50 km/h rentrera dans un. pour avoir beaucoup roulé également dépassé le millions, et dans des pays d’Europe durant les années 70 il valait mieux savoir conduire.
également la tyrannie des interdictions au volant téléphoner manger bientôt parler qui soustrait le conducteur à l’attention, des balivernes personne ne peut maintenir son attention sur la voie de circulation sans finir par s’endormir, constamment le regard navigue sur le paysage sur les panneau de signalisations, sur les panneaux de publicité, et étrangement ils ne sot jamais signalé comme distrayant l’attention. dans les accident avec taux d’alcoolémie il n’est jamais démontré que ces ce taux qui est la cause de l’accident. s’il est exact que l’alcool réduit les réflexes encore faut-il démontrer que ses dans cette limite qu’a eu lieu l’accident. s’il est nécessaire de se protéger et surtout de ne pas mettre la vie d’autrui en danger, il faut aussi adapter le réseaux routier plutôt que de développer les punitions car il vient un moment ou ce n’est plus supportable.
je ne me souviens plus de cette guerre ou les chevaliers français protégés dans leurs armures eux et leurs chevaux se sont fait décimer embourbés sous le poids de leur carapace de protection.
cordialement.
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