Bonjour
annaC
je vais apporter une note dissonante. J’ai compris le sens de ton article, sauf
que tu reprends ce terme système qui a cours en ce moment est qui remplace
quelque peu la loi du marché ou est son équivalant. C’est à dire qu’il définit
l’imbroglio de nos milliards d’actions et de relation humaine qui sont induite
par nos comportements innés remodelés par la culture sociétale. Au système il
faut donc lui donner les noms qu’il porte faute d’entrer en confusion car tout
est système.
C’est la partie et le tout de d’Heisenberg. Le système c’est le tout
comme la loi du marché et les partie son les noms que l’on donne a chaque
chose. La base de la compréhension est ce que nous avons compris partiellement
de la nature. Nous savons qu’elle façonne l’espèce pour survivre au dépend les
unes des autres et que chacune définie un dominant pour assurer la meilleure
progéniture dans un environnement donné, ce dominant n’a point pour fonction de
dominer les autres, c’est le dominant alpha, il se nourri sans s’occuper si les
autres ont faim et sa limite est la mesure de sa satiété. Nous les humains nous
avons distordu cela en créant des organisations sociétales qui petit à petit
ont développé la faculté de l’altruisme pour permettre à tout humain de vivre. Mais
cela ne peut se faire sans qu’émerge un ordre représenté par un système
sociétal imposé ou accepté par tous. Je le nomme le ou les "dominants
systémiques" car il représente la ou les parties qui composent le tout que
nous ne connaitrons jamais. Chaque système se nomme différemment suivant ce
qu’il a retenu des sources originelle qui l’on organisé. Dans l’occident nous
retrouvons des traces de tout ce qui a pu s’organiser en système depuis
l’antiquité pour définir une société judéo-chrétienne dans laquelle l’altruisme
et l’humanisme a trouvé une place face à l’évolution des comportements
socioéconomiques humains. Ces organisations systémiques ne peuvent durer que si
elles s’imposent par un mode de vie que véhiculent l’information et
l’apprentissage en désignant un dominant qui sera incontestable. C’est
généralement dans les anciens systèmes un ou des dieux placés hors de la
porté humaine. Ce n’est donc que très récemment que nous sommes sorties de ce
processus dans l’organisation politique du moins pour la France et les pays communistes.
Ce n’est pas pour autant qu’ils n’ont pas défini une organisation systémique de
référence que l’on appelle la constitution et dans le même temps, comme nos
prédécesseurs qui définissaient des rituels identitaire ils organisaient un
magistère qui coopter ceux qui le dirigeraient. Ces hommes devenaient les
dominants du moment, mais pas les dominants alphas mais des dominants bêta car ils
ne dominent pas pour être de meilleur géniteur mais pour diriger un système et
ils sont interchangeables. Ce sont les « dominants systémiques ».
C’est pour cela qu’il faut pouvoir nommer ces systèmes qui cooptent nos
magistères d’aujourd’hui. Tu as nommé certains d’entre eux sans désigner les
systèmes qui les ont cooptés. Le plus connu est la famille, le capitalisme, la
démocratie, le libéralisme, les droits de l’homme etc. Cela fait un beau
pataquès qui rend la lecture de la vie complexe et exige d’apprendre et savoir
sans cesse car faire à mesure que l’on apprend cela se complique.
Alors, quand l’on évoque le système l’on s’adresse à une perception et non à
connaissance précise. C’est comme la loi du marché que certains soutiennent en
trouvant anormale l’existence de syndicats alors qu’ils sont générés par la loi
du marché.
cordialement. ddacoudre.over-blog.com .
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