100 décès par an, c’est navrant, surtout des meurtres, mais ça ne me paraît pas nécessiter un grand chantier social pour pallier à un fléau (style « suicides » ou « cancer »).
Vivre avec un homme violent est un choix personnel de ces femmes, rester en dépit du risque encouru également, alors si la responsabilité du meurtre est évidente, la mise en oeuvre des conditions de possibilité, est partagée.
Si une femme se choisit un compagnon violent (car la violence ne sort pas du chapeau dix ans plus tard), si elle persiste à nier ou minimiser le danger qu’il peux poser pour sa santé ou sa vie, est-ce l’homme qu’il faut soigner ? Que lui ?
Donc je nous vois mal refaire l’éducation de tous les hommes au motif qu’une centaine de femmes ont trouvés « charmants » une centaine de tarés néanderthaliens qui les mettaient au niveau de leur moto ou leur automobile, au lieu de les voir comme des partenaires de vie libres de leurs choix.
Il est aussi dangereux de vivre avec un homme qu’avec un pitbull non dressé. Avant de se lier, vérifier que le dressage a été fait correctement, serait mon seul conseil.
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