Bon le Gadlu n’est pas une nouveauté, le symbolisme architectural est commun à plusieurs traditions si ce n’est toutes.
Disons qu’il introduit une perspective géométrique et cosmologique. Si les dogmes religieux ne se soucient pas de cet aspect, c’est pourtant lui qui intervenait/intervient dans la construction des lieux de culte, qui devaient être une sorte de symbole de l’univers. Partie céleste et ronde, partie terrestre et carrée.
L’infini : littéralement c’est ce qui n’a aucune limite. Certes le nombre, le temps, l’espace semblent posséder une extension indéfinie, ne pas avoir de limite, car à un nombre on peut toujours ajouter une unité, on peut au moins imaginativement ajouter un autre instant, une autre distance, rien ne l’interdit, mais il ne s’agit que d’indéfini, car ces catégories s’excluent et se limitent les unes les autres, le temps interfère avec l’espace, le nombre est une catégorie parmi d’autres, aucune n’est absolue en elle-même.
L’infini est ce qui est en dehors de toute définition, on ne peut donc en parler que d’une manière négative, voie négative des théologiens, neti-netiti, pas ceci -pas cela dans l’hindouisme.
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