La mode me semble davantage aux hommes misandriques qu’aux femmes misogynes, il suffit d’écouter les journalistes hommes (et politiciens) faire assaut de clichés pour surabonder dans les campagnes contre le sexisme, comme s’ils cherchaient à s’acheter une bonne conscience (je ne les jamais vu renoncer à leur sursalaire, s’ils sont mieux payé que leurs collègues féminines).
Ainsi, j’ai écouté récemment un débat sur LCP concernant la grammaire inclusive, un des hommes participants, grammairien, poussait les poncifs féministes jusqu’en butée.
Notre société occidentale contemporaine est la plus « paritaire » de l’histoire, même s’il reste des préjugés dans les têtes (ou les hormones), les règlements de comptes basés sur les mœurs du passé sont une sorte de vendetta rétroactive. Ce qui est à craindre -qui a été mentionné par certains intervenants, citant le Japon ou les USA- c’est un recul de la mixité pour éviter les suspicions de domination/harcèlement, une sorte de burqa sociétale en quelque sorte.
homo homini lupus, homo feminae lupus, femina homini lupa, femina feminae lupa
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