Autrefois il y avait des petits commerces en ville et villages, faire ses courses prenait des plombes car il fallait faire la queue à chaque commerce (boulanger, boucher, épicier...). Alors il y a eu les « alimentations générales » et équivalents, les supérettes, puis les grands magasins de centre ville (Monoprix, etc.). Et ceux-ci ont ensuite été déportés en périphérie super/hypermarchés avec centre commercial.
Il semble y avoir un retour de supérettes de villes, et les « marchés » se portent souvent assez bien, ce qui est le bon équilibre pour les urbains. Mais les banlieusards et campagnards ne viendrons plus jamais au centre de la « grande » ville faire leurs courses, puisque tout est fait pour décourager d’y venir en voiture, les magasins de vêtement, électroménager n’y ont plus leur place (allez-vous transporter un frigo par le bus ?).
Pendant quelques années, on a vu proliférer en ville les agences bancaires et agences immobilières, pharmacie et optique. Mais la clientèle ne s’est pas multipliée, de nombreuses officines ferment leur porte.
PS : dans mon village, il y a une petite épicerie/vente à la ferme depuis ces dernières années, ce genre de commerce local « de convivialité » marche plutôt bien pour le quotidien, et limite le recours à l’hypermarché.
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