Intéressante présentation donnant un vaste panorama contextualisé. On peut certes considérer qu’il s’agit d’un « plaidoyer à décharge » (sans pour autant être une apologie), mais cela permet d’équilibrer le permanent « réquisitoire à charge » transmis par la presse occidentale et que résume Spartacus ci-dessus.
La synthèse me semble être qu’il y a deux causes au marasme vénézuélien : une part d’incurie des gouvernants locaux, et une part d’actions extérieures hostiles.
On voit se [re]constituer des « blocs d’influence » dans le monde comme ceux qui existaient jusqu’aux années 80. L’hostilité atlantiste en en train de pousser le Vénézuéla dans le bloc d’influence chinois.
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