« si Benoît Hamon avait écouté la voix du bon sens et avait abandonné sa candidature »
Les démarches de rapprochement n’ont pas pu aboutir, mais exiger un retrait sans condition du candidat qui représentait alors le parti majoritaire était totalement irréaliste, une union se fait en définissant ensemble un programme commun. Du reste il y a un côté schizophrène à dénoncer le régime présidentiel de la 5ème république, et d’exiger que l’union se fasse par ralliement à une personne.
Ceci dit, Mélenchon n’est pas en cause, les premiers sondages pour les européennes étaient plutôt favorables, alors que EELV est parti de très bas ; en décembre 2018, FI était encore à 11,5% et EELV à 6,5%. Les deux courbes se sont ensuite croisées, il y a eu vases communicants d’électeurs (les instituts de sondage ont sous estimé le fait que la tendance se poursuivait). Bien sûr il y a eu un climat politico médiatique : alarmisme sur l’environnement, discours lénifiant sur le social (le chômage baisse, le pouvoir d’achat augmente, les impôts diminuent...)
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