"On devrait donc plutôt parler de contagion que de répartition
[des risques]«
La crise des subprimes yankees disséminées par la »titrisation« dans les fonds de placement (dont les actions Natixis vendus alors par la poste et la Caisse d’Epargne aux petits porteurs) est un exemple de cette contagion. On nous affirme que tout cela est désormais sécurisé et que ce genre de titre pourri n’existe plus, mais l’inventivité des docteurs Folamour de la finance est sans limite, ils ont certainement disséminé d’autres trouvailles funestes.
L’article nous montre par ailleurs la collusion des administrations et banques centrales avec des organismes financiers privés, dans ce cadre, le »délit d’initié" n’est pas seulement une hypothèse, c’est une fatalité. Du reste les reconversions entre le pouvoir politique et la finance sont bien connues, notre actuel président en est l’illustration (sa première mesure : baisse de la fiscalité sur les profits financiers).
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