@Krokodilo
Lorsque la dyspnée suite à l’infection covid est installée ( lorsque les personnes ne peuvent terminer leur phrase sans reprendre une respiration ), les chances de guérison spontanées sont réduites et susceptibles d’évoluer vers le décès en 1h de temps. La dyspnée est un des majeurs critères de gravité, qui entraine pour grande partie de ces cas, hopitalisation et intubation parfois tres rapidement pour assistance respiratoire. Le protocole azythromicine, + C3G lorsqu’il y a atteinte pulmonaire, a permis de rétablir en une journée, maximum deux, les personnes souffrant de dyspnée d’effort, 1er critère de gravité. Infirmier libéral, je n’ai connaissance d’aucune hospitalisation ni aucun décès de personne ayant reçu ce traitement. En revanche, pour les personnes sous paracétamol, pris parfois spontanément sans consultation, j’ai plusieurs exemples de décès.
PS questionnement sur l’ intérêt des tests prélevement nasal, puisque lorsque les signes pulmonaires sont présents, le virus n’est plus détectable dans le nez ? Ceci additionné à une fiabilité de 30 pour cent d’erreur s’y ajoutant... ?
PS 1 médecin proche a 1 50aine de cas en ehpad, aucune inquiétude, sous azythromicine, et tout se passe bien ! ( ce médecin (dixit) « préfere essayer quelque chose, plutot que ne rien faire », et cela semble bien fonctionner !
La réalité du terrain a poussé nombre de professionels, surtout pharmaciens et médecins, à se procurer une boite d’azythromycine chez eux... Au cas ou...
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