« Ainsi, est mise en évidence toute la complexité de l’être féminin, oscillant entre tendresse et force... »
La Femme sait que ce qu’elle réprouve « est mal » que ce qu’elle approuve « est bien » parce qu’elle a l’instinct du bien et du vrai. Elle a conscience de sa plénitude, de sa puissance, de son autorité. Sa haute raison déborde, et lui dicte des ordres, elle est généreuse autant qu’elle est grande. Elle donne, elle ne prend pas.
C’est qu’elle a le suprême bien, le bonheur intense de la vie complète... une richesse inépuisable et inattaquable, celle-là. Elle s’occupe du malheureux, pour l’aider à vivre, parce qu’elle a horreur de la souffrance. Elle s’occupe des autres en vertu d’une impulsion puissante de sa nature généreuse.
Cependant sa justice n’a pas de faiblesse elle est intègre dans le châtiment.
L’horreur du mal la rend sévère. Autant elle se laisse toucher par l’effort pour le bien, autant elle est inflexible pour le coupable qui fronde...
La supériorité est ironique. La mascarade sociale, quand elle ne l’indigne pas la fait rire, les petites faussetés des hommes la navrent et l’amusent.
Dans la morale des femmes c’est le bien qui se fait craindre.
La femme s’impose par le bien.
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