Ce genre de sujet m’embarrasse.
Non pas que j’ai quelques hontes sur mes opinions, mais davantage sur la façon de l’aborder sans tomber dans un camp ou dans un autre.
Par exemple, lorsqu’on avait débattu sur la limite de 80 km/h ou 90 km/h, j’étais assez en désaccord avec le principe d’abaisser continuellement la vitesse maximale sans que moi-même je sois un fervent amateur de sensations fortes et m’accommodant facilement de rouler à 80 plutôt qu’à 90 sans que ça déclenche des regrets. Ma position sur ce sujet étant qu’en parlant quasiment exclusivement de la vitesse on en oubliait les autres aspects de la sécurité routière moins maîtrisable avec des radars.
Évidemment, j’ai tôt fait d’être associé aux défendeurs de la vitesse sans retenue, ce qui n’est pas mon cas.
De la même manière, l’argumentaire de l’auteur me semble acceptable avec cette « discrimination positive » en faveur des femmes qui n’est qu’au final qu’un vernis, mais j’ai peu vu l’auteur manifesté de bonnes intentions envers la gente féminine. Peut être n’ai-je pas bien lu, ou l’auteur n’a juste voulu pas s’attarder là dessus.
Mais il me semble essentiel d’admettre que la condition féminine sur bien des aspects reste compliquée et peu enviable, même si il est vrai que l’utilisation du combat féministe est largement altéré par la récupération malsaine qu’en font les tenants du libéralisme économique et financier.
Je ne voudrais pas adhérer aux propos de l’auteur et être aussitôt invité dans une ligue de masculinistes, vous me comprenez ? ;)
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération