... hmmm, votre conclusion me parait trés loin de l’argumentaire que vous avez développé dans votre article.

Autant le contenu est plein d’arguments et ... me semble-t-il d’ouverture, autant ce dernier paragraphe me parait rapidement clos. Je me réfère donc au paradoxe de Fermi ...

si nous ne trouvons rien su Mars, ce qui est fort, fort probable, mais si quand même nous trouvions quelque chose, cela voudrait simplement dire que :

— Dans le cas ou on ne trouve rien, c’est que l’espace de recherche a l’interieur de notre systeme est trop restreint et ne nous appartient qu’a nous.... donc personne d’autre n’est venu et notre expansion n’y est pas encore parvenue.... 

— dans le cas ou nous trouvons, il est fort probable que la « germination de la vie » se fait dans un espace compatible et favorisé ce qui ne peut expliquer aucune réalité plus loin (ailleurs)... nous sommes encore chez nous sur Mars.

le paradoxe de Fermi determine un isolement... nous sommes en deça du filtre qui va nous eliminer, lorsque nous atteindrons le filtre que nous ne franchirons pas, pschitt, plus d’humanité mais plus de vie non plus dans le systeme solaire.

Les autres opportunités de la vie, loin de nous partout ailleurs, sont en deça ou au delà de leurs filtres. Pour le « en deça » le seul et unique parametre qui permet d’evaluer la réalité de notre multiplicité, c’est le temps, le temps de parcours des preuves d’une présence face au parametres cosmologiques verrouillants l’intercommunication entre tous.

Pour les « au delà », c’est foutu, nous atteindrons notre filtre-sanction bien avant que notre « reste a vivre » permette d’aller verifier« les traces de ceux qui ont été déja sanctionnés.

Conclusion... quoi que trouve »Perseverance", donc même si ce rover decouvre une montre, un squelette, une bagnole... ce que vous voulez, cela ne veut en aucun cas prédire l’existence d’une alterité ailleurs dans l’univers.