On dispose de tonnes d’informations sur le virus, les variants dont on a décortiqué les formules. On a des tonnes de données statistiques sur les cas positifs, les malades, les hospitalisés, les morts etc. et sur le tempo de l’épidémie, son accélération, ses ralentissements etc., par pays, par régions, dans le monde.
Et pourtant on patauge.
Avec toutes ces données on devrait pouvoir modéliser l’épidémie et y voir à peu près clair sur son évolution.
Pourtant les prévisions sont assez régulièrement démenties par les faits.
Ce qui était prévu n’arrive pas, et ce qui arrive est à chaque fois une surprise qui semblait impossible il y a peu.
Les experts, les scientifiques qui plastronnaient à la télé ont été totalement désavoués par le réel. Comme si le virus prenait plaisir à se foutre de leur gueule.
Ce qu’on en droit d’attendre de nos « experts » c’est au minimum un peu d’humilité, et de nos dirigeants c’est qu’il nous laissent vivre.
Que ceux qui ont peur restent cloitrés chez eux, on ne leur en voudra pas.
Mais que ceux qui veulent vivre puissent prendre leurs responsabilités -ce qui ne veut pas dire faire n’importe quoi— et vivre le plus normalement possible.
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