Un bon jardinier n’a pas besoin de cramer un slibard pour connaître la santé de son sol. S’il le nourrit régulièrement y compris en payant de sa personne (l’urine est un engrais de qualité un peu vite oublié) il n’a même pas à donner un coup de bêche pour savoir que son sol est plus troué qu’un vieux gruyère et plein de bestioles. La biodiversité végétale aide beaucoup, nodules des racines de légumineuses ici, plantes engrais à racines pivots, etc. Un peu de paille de chanvre ou de lin, on enfouis au sortir de l’hiver l’herbe de surface et c’est Noël pour nos agriculteurs lilliputiens. J’imagine le bobo de service se demandant si 40% coton et 60% polyester ça marche aussi.
On est bien partis pour enseigner les bases du « développement durable » avec des opérations de communication de cette envergure ...
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