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Hervé Hum Hervé Hum 11 juin 2021 09:16

Le juge a condamné en première instance l’auteur de la gifle à 4 mois ferme et invente du même coup le délit de lèse président !

Car aucune gifle ne justifie une telle peine et encore qu’elle ne s’arrête pas là la sentence, le juge ayant cru bon d’en rajouter une couche. .

Alors, cette gifle est ce un acte de violence ? NON ! Comme le dit le courageux donneur de la gifle, il s’est agit d’un acte de colère que Macron lui même s’est empressé d’aller chercher. La violence, aurait commencé à la seconde gifle ou s’il avait donné un coup de point. Mais Macron est bel bien allé chercher sa gifle.

Du reste, Damien n’a pas donné une baffe au président, mais à Macron seul qui aime tantôt se présenter en tant que Macron la joie et tantôt en président, selon son bon plaisir. Un pouvoir discrétionnaire propre au monarque.

Si Macron avait effectivement respecté la pseudo sacralité de la fonction présidentielle, transposition de la fonction monarchique du roi, jamais il n’aurait accouru auprès de l’auteur comme il l’a fait, mais l’aurait fait venir à lui, car par définition, c’est le sujet qui va roi et non l’inverse. Sans compter que Macron se laisse aller à la familiarité en prenant le 1er le bras de Damien. En faisant cela, Macron à mis de coté cette pseudo sacralité et s’est alors lui même exposé à la baffe tant mérité qu’il en a profité ! Il s’est de lui même défait de son habit de monarque, heu, président pour son habit de simple citoyen.

De fait, un juge impartial aurait dû faire le même raisonnement et juger l’auteur de la baffe de la même manière que pour un simple citoyen ayant mal réagit à la provocation d’une personne abusant du pouvoir donné par des institutions dictatoriales.

La sentence, totalement disproportionnée face à l’acte, ne trouve donc sa justification que dans une république dictatoriale, mais pas dans ce qu’on appelle une démocratie..

En démocratie, l’auteur de la baffe, une fois établie qu’il n’était pas un délinquant, pas reconnu ou/et condamné pour des faits de violences, que son acte n’était pas prémédité et répondait à une forme d’agression où l’agresseur usait de son pouvoir personnel, aurait juste dû avoir ce qu’on appelle un rappel à la loi. Disant que même si la personne mérite une bonne baffe, la loi l’interdit !

Bref, le vrai agresseur c’ est Macron, mais lui ne sera pas condamné pour sa provocation, son sens pervers de l’humiliation des « petites gens » !

Cela dit, je pari que ledit Damien va être traité comme il se doit en prison par les prisonnier, c’est à dire, avec respect pour son acte héroïque d’avoir giflé l’enfant roi des cons, Macron.


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