L’article est excessif en mélangent cotisations sociales et impots, dans les pays qui n’ont pas d’aide sociale étatisée, il faut se la payer personnellement, le bilan est équivalent.
Il y a cependant un « surcroit », qui est le cout du non-travail payé par le travail, supérieur en France aux autres pays (davantage de bénéficiaires durables d’allocations, niveau plus élevé de ces allocations, ce qui fait que le terme d’« assistanat » est parfois utilisé parfois).
A propos de la proportion d’impôt payés par les différentes catégories, il faut quand même garder à l’esprit le « solde » de ce qui est perçu en allocations par rapport à ce qui est payé. Néanmoins, si on en fait abstraction, on a la fameuse « courbe de Piketty » qui montre que ce sont les catégories moyennes-supérieures (centiles 80-95) qui ont le plus fort taux de prélèvement, et les très riches un taux moindre
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